La programmation artistique de cette IV édition comportera de grands moments d'inspiration. D'une part, le Concert de Gala comptera sur la participation d'un chanteur unique et, sans aucun doute, l'une des voix les plus acclamées du moment : le ténor allemand Jonas Kaufmann.
Aux côtés de la mezzo-soprano Anita Rachvelishvili, accompagnés de l'Orchestre Philharmonique de Grande Canarie et sous la direction de Karel Mark Chichon, ces artistes incomparables porteront sur scène un gala lyrique avec certaines des pages les plus émouvantes du répertoire d'opéra, le mardi 25 juin 2024, à 20h30 au Santa Catalina, a Royal Hideaway Hotel.
« Lyrisme et passion »
La plus belle musique signe son retour à Las Palmas de Grande Canarie, dans les jardins de l'emblématique Santa Catalina, a Royal Hideaway Hotel à l'occasion de la IIIe Édition du festival de musique classique Santa Catalina Classics.
Acclamé par le public et par la critique comme étant l'un des meilleures ténors de l'histoire, Roberto Alagna s'est transformé en l'une des plus grandes icônes lyriques au monde. Le son chaleureux de sa voix marié à la passion et à la force dramatique avec lesquels ils interprète un grand répertoire en font un label unique de perfection artistique. À cette occasion, accompagné par l'une des orchestres symphoniques les plus connues actuellement, l'Orchestre Philharmonique de Grande Canarie, sous la direction de Karel Mark Chichon, il abordera un répertoire allant du lyrisme français au vérisme italien avec ses touches dramatiques profondes bien à lui.
Gagnant du concours international de Piano de Santander 2022
En plus d'avoir remporté la plus haute distinction lors du dernier concours international de piano de Santander, le jeune pianiste Jaeden Izik Dzurko a récemment été récompensé lors de concours internationaux tels que le Hilton Head International Piano Competition et le Maria Canals International Music Competition.
"Force et virtuosité"
Avec son style incomparable, qui combine une connaissance approfondie de la partition avec un dévouement illimité aux possibilités sonores de son instrument, le pianiste originaire de Séville a été accueilli sur les scènes les plus célèbres d'Europe et d'Amérique.
« Le violon est poésie »
Le second récital du cycle de chambre sera donné par le duo violon et piano composé de Francisco Fullana et Alba Ventura. Au cours de cette soirée, les artistes espagnols joueront notamment des œuvres de Granados, Poulenc, Messiaen, Turina et Sarasate. Un répertoire exigeant et intense qui entraînera l'auditeur vers les registres les plus extrêmes de l'émotion et de la poésie.
Une manière différente de savourer la qualité d'un excellent vin, ses tonalités et ses nuances, en expérimentant et en apprenant à connaître son lien ancestral avec d'autres arts au fil de l'histoire.
Ce parcours spécial sera composé de trois étapes : un voyage parmi les moments marquants de la relation entre le vin, la musique et la création artistique, qui se terminera avec une démonstration musicale de l'un des instruments associés à l'ancien dieu du vin, l'aulos ; une introduction œnologique au cours de laquelle les particularités des vins canariens seront dévoilées ; et une dégustation de vins avec musique instrumentale qui nous permettra de distinguer à travers « l'accord sonore » les nuances les plus cachées du raisin et la synesthésie avec les sons.
« Une voix unique »
Acclamé par la presse internationale comme l'un des ténors les plus importants du XXIe siècle, Juan Diego Flórez est devenu une icône du Belcanto ainsi qu'un artiste à plusieurs facettes et dans lequel se retrouvent la perfection technique, l'expression interprétative et le charisme scénique.
Ensemble avec la tant renommée orchestre espagnole Oviedo Filarmonía, l'une des orchestres symphoniques les plus influentes sur le plan international et sous la baguette du chef d'orchestre, Christopher Franklin, elle fera vibrer les jardins du Santa Catalina, a Royal Hideaway Hotel tout en parcourant avec sa voix les pages les plus émouvantes du répertoire lyrique du XIXe siècle, un vrai voyage au cœur du style du belcanto.
« Un poète du piano »
Avec des notes chargées d'intensité dramatique, d'émotion et de grandeur, Alexei Volodin présente un récital consacré à quelques unes des pièces les plus représentatives du répertoire romantique du XIXe siècle.
Le pianiste, qui a collaboré avec quelques unes des orchestres les plus importantes d'Europe et d'Amérique, sous la baguette de chefs d'orchestre tels que Valery Gergiev, offre à l'
auditoire son interprétation de chefs d'œuvres parmi lesquelles se distinguent la le Fantaisie en Fa mineur et la célèbre Polonaise-Fantaisie de Chopin ainsi que les Tableaux d'une exposition de Mussorgsky.
« L'âme du violon »
Leticia Moreno est l'une des violonistes les plus éminentes de sa génération. Après le lancement de son troisième album avec la légendaire Deutsche Grammophon, elle a confirmé son excellent talent interprétatif ainsi que son profond compromis avec l'œuvre musicale.
Lors de cette occasion, elle abordera avec le pianiste et chef d'orchestre, Felipe Aguirre, la célèbre sonate Kreutzer de L. van Beethoven, les Sept chansons populaires espagnoles de M. de Falla ainsi que la vertueuse Tzigane de M. Ravel. Grâce à ces œuvres aussi contrastées que complémentaires, le public pourra profiter de l'une des talents les plus frappants de la violoniste espagnole : sa capacité à « parler » à travers son instrument, d'« exprimer » son âme à travers des sons.
Une manière différente pour savourer la qualité d'un excellent vin, ses tonalités et ses nuances, en expérimentant et en apprenant à connaître son lien ancestral avec d'autres arts à travers l'histoire.
Ce parcours spécial aura trois étapes : un voyage par les moments qui marquent la relation entre le vin, la musique et la création artistique qui se terminera avec une démonstration musicale des instruments associés à l'ancien dieu du vin : aulos, tympanon et kymbala. Une introduction œnologique pendant laquelle les particularités des vins canariens seront dévoilées, un raisin unique au monde et une dégustation de vins avec musique instrumentale qui nous permettra d'apercevoir à travers le « mariage sonore » les nuances les plus cachées du raisin et de profiter de la synesthésie avec les sons.
Salué par la critique internationale et récemment adoubé d’une étoile sur le fameux "Walk of Fame" à Hollywood, Gustavo Dudamel s'est imposé comme le chef d'orchestre le plus important et le plus influent d'aujourd'hui. Sous sa baguette, deux des œuvres les plus importantes du répertoire symphonique du XIXe siècle seront entendues. L'orchestre chargé de faire résonner les jardins du Santa Catalina, à Royal Hideaway Hotel, sera le Mahler Chamber Orchestra, un groupe qui allie enthousiasme et expérience et qui, en plus de trois décennies, a reçu un accueil enthousiaste du public et de la critique.
Rien de mieux qu'un récital lyrique pour apprécier, dans un cadre naturel, la magie de la voix. Pour cette occasion, la mezzo-soprano Olga Syniakova et le baryton Ihor Voievodin, qui dans leur carrière ascendante ont déjà triomphé sur des scènes telles que le Palau de les Arts ou le Théâtre d'Opéra de Dnipro, raviront le public avec un programme composé d'arias et de duos d'opéra parmi les plus célèbres, comme le fameux « Mon coeur s'ouvre à ta voix » de Camille Saint-Caëns, et le « Là ci darem la mano » de Mozart. Dans ce récital, et dans la lignée de la bourse accordée par le Barcelo Hotel Group à Olga Syniakova dans le cadre de la collaboration avec la Fondation Albéniz, le Festival Santa Catalina Classics réaffirme son engagement à soutenir les nouvelles générations d'artistes émergents et les jeunes talents de la musique classique.
Le jeune pianiste ukrainien Dmytro Choni, grand espoir de la scène pianistique mondiale, s'est non seulement produit en tant que soliste avec de nombreux orchestres européens et américains, mais a été acclamé comme le lauréat du premier prix et de la médaille d'or du Concours international de piano de Santander, Paloma O'Shea, 2018. Dans ce récital, il abordera des œuvres d'une grande complexité technique, dans un répertoire allant de la poésie pianistique de Debussy, avec des extraits de son œuvre Images, à la virtuosité et à la profondeur mélancolique de Rachmaninov, avec sa célèbre Sonate n°2, en si bémol mineur.
Diplômé cum laude du Conservatoire de Vienne, il a débuté sa carrière internationale comme chef d'orchestre en 1998 avec la Cape Town Philarmonic. Il a été nommé directeur à titre honorifique de l' Orchester-Verein de Schwechat (Basse-Autriche) ainsi que Titulaire de la Schönbrunner Kappelle de Vienne. Il a aussi donné des concerts autant en Europe qu'en Amérique en dirigeant des orchestres comme la Kammer-Philharmonie (Hongrie), la Pressburger Symphoniker (Slovaquie), la Spokane Symphony (USA), la Symphonie des Baléares (Espagne) et la Innsbrucker Symphoniker (Autriche). Depuis 2010, il est professeur de musicologie, d'interprétation musicale et de musique de chambre au Conservatoire des Baléares, et a été chef invité de plus de trente orchestres symphoniques en Europe, en Asie et en Amérique.
Une manière différente d'apprécier la qualité d'un excellent vin, ses tonalités et ses nuances, en expérimentant et en apprenant à connaître son lien ancestral avec d'autres arts à travers l'histoire. Ce parcours très spécial aura trois étapes : une brève introduction œnologique durant laquelle les particularités des vins canariens seront dévoilées, un raisin unique au monde, une dégustation de vins avec de la musique instrumentale qui nous permettra d'apercevoir, à travers le « mariage sonore », les nuances les plus cachés du raisin. Et, pour finir, un récital intitulé « Dionysos et l'inspiration divine » : un voyage par les moments qui marquent la relation entre le vin, la musique et la création artistique qui se terminera avec une démonstration musicale des instruments associés à l'ancien dieu du vin : aulos, tympanon et kymbala.
ORCHESTRE SYMPHONIQUE DES ÎLES BALÉARES FELIPE AGUIRRE - CHEF D'ORCHESTRE
Considéré par la critique comme l'une des plus grandes promesses internationales du piano.
Juan Pérez Floristán a été salué pour ses performances riches de musicalité et de virtuosité.
Après avoir remporté le Concours international de piano de Santander « Paloma O'Shea » en 2015, sa carrière prometteuse l'a récemment amené à se produire aux prestigieux Proms à Londres, où il a partagé la scène légendaire du Royal Albert Hall avec l'Orchestre philarmonique de la BBC et le chef d'orchestre, Ben Gernon. Une sélection rigoureuse de quelques-unes des œuvres pour piano et orchestre les plus représentatives de Beethoven, Rachmaninov, Tchaïkovski, Ravel et Gershwin sera interprétée lors du concert de gala qu'il offrira au Formentor Sunset Classics - un espace qui a accompagné son ascension artistique dès ses débuts : un moment unique pour être envouté par le charisme et l'enthousiasme d'un vrai poète du piano.
Le Formentor Sunset Classics et le Théâtre Royal présentent, dans une coproduction, l’un des plus grands phénomènes de l'histoire de piano, qui comprend jeunesse, élan, magnifique technique et originalité : le pianiste chinois Lang Lang. À cette nouvelle occasion, le festival déplace son Formentor Sunset Experience sur la scène légendaire de l'opéra de Madrid, nous entendrons des œuvres de Beethoven, parmi d'autres compositeurs.
C’est se laisser porter par les sons du piano, en compagnie de l'un des principaux génies musicaux de notre siècle, c'est entrer dans un monde éloigné et apparemment inaccessible : celui de l’inspiration.
La pianiste portugaises Maria João Pires a charmé son public grâce à la sensibilité, l'authenticité et l'inspiration que l'on retrouve dans ses interprétations. Avec son style unique, empreint de lyrisme et de profondeur, elle donne voix à l’essence même de la musique. L’ensemble des notes qui prennent vie sous ses mains illuminent le silence comme le ferait un clair rayon de lumière sur une toile immatérielle. Le programme proposé, entouré des merveilleux jardins du Formentor à Royal Hideaway Hotel, réunira certains des morceaux les plus emblématiques de Beethoven, Mozart et Chopin. Trois compositeurs qui, sans aucun doute, ont marqué profondément la carrière d’une grande artiste de notre siècle.
« J'ai vraiment hâte d'être dans ce lieu magique, je pense que nous allons tous en profiter. ». Ce sont les mots enthousiastes de la violoniste Leticia Moreno avant le concert qu'elle a inauguré le 26 mai pour la saison 2018-2019 du festival Formentor Sunset Classics. Accompagnée du quintette « Projet Tango Nuevo » formé par Claudio Constantini au bandonéon, José Gallardo au piano, Uxia Martínez à la contrebasse et Anneleen Lenaerts à la harpe, Leticia Moreno a proposé un voyage musical autour du tango dans un cadre impressionnant.
Ce spectacle musical a été expliqué par Felipe Aguirre, directeur artistique du Festival : « Le projet avec lequel nous avons ouvert ce festival essaie de mettre à jour ce qu'était la révolution du tango que l'Argentin Piazzolla a impliqué avec son travail et qui lui a donné un nouvel air dans ce style ». Un style musical qui s'est enraciné dans les origines de Formentor, au Royal Hideaway Hotel, né en 1929 de l'engagement, de la vision et des rêves de l'Argentin Adan Diehl, et qui a fait tomber amoureux Moreno après sa rencontre avec Piazzolla. « Sa musique a une complexité et une profondeur incroyables, il la distille pour qu'elle soit directe, belle et facile à écouter, mais à la fin, elle est tout sauf simple », a expliqué la violoniste.
C’est pour cette raison que le programme a été conçu : approfondir les compositeurs, les œuvres, qui ont marqué à la fois la musique de Piazzolla et sa vie et son caractère et qui l'ont amené à créer ce message unique et révolutionnaire.
C'est par cette lettre d'introduction que la violoniste madrilène s'est laissé accompagner par de grands musiciens pour remplir la baie de Formentor de figures légendaires telles que Bach, Vivaldi, Bartok, Ginastera et Piazzolla lui-même, tous au service du tango.
Anna Netrebko, élue récemment par la presse internationale comme la plus grande soprano du XXIe siècle, est montée ce soir sur la scène du Formentor Sunset Classics pour clôturer le cycle de concerts qui a eu lieu à Formentor, au Royal Hideaway Hotel pour la VI édition. Une extraordinaire technique vocale associée à un grand charisme sur scène et à une puissance dramatique unique, voici ce qui définit l'une des plus grandes voix de l'histoire de la musique lyrique. Pour ce gala d'opéra, elle était accompagnée du ténor Yusif Eyvazov, autre grand nom de l'opéra qui a obtenu de grands succès dans sa carrière internationale. Ces voix se sont unies lors d'un coucher de soleil dans la baie de Formentor, pour interpréter des airs et des duos de compositeurs comme Verdi, Puccini et Mascagni : un vrai délice pour les sens.
Les deux voix, qui se sont produites sous la direction du chef d'orchestre Michelangelo Mazza, ont été accompagnées par l'Orchestre Symphonique des Îles Baléares, l'une des références symphoniques en Espagne.
Anna Netrebko, élue récemment par la presse internationale comme la plus grande soprano du XXIe siècle, est montée ce soir sur la scène du Formentor Sunset Classics pour clôturer le cycle de concerts qui a eu lieu à Formentor, au Royal Hideaway Hotel pour la VI édition. Une extraordinaire technique vocale associée à un grand charisme sur scène et à une puissance dramatique unique, voici ce qui définit l'une des plus grandes voix de l'histoire de la musique lyrique. Pour ce gala d'opéra, elle était accompagnée du ténor Yusif Eyvazov, autre grand nom de l'opéra qui a obtenu de grands succès dans sa carrière internationale. Ces voix se sont unies lors d'un coucher de soleil dans la baie de Formentor, pour interpréter des airs et des duos de compositeurs comme Verdi, Puccini et Mascagni : un vrai délice pour les sens.
Les deux voix, qui se sont produites sous la direction du chef d'orchestre Michelangelo Mazza, ont été accompagnées par l'Orchestre Symphonique des Îles Baléares, l'une des références symphoniques en Espagne.
Le 10 août dernier, le festival Formentor Sunset Classics a clôturé son cycle de chambre avec la joueuse de viole Isabel Villanueva qui, avec le pianiste François Dumont, a interprété « Les doux accents de la viole » , un instrument chaleureux et intime dont le registre sonore est capable d'exprimer les émotions et les nuances les plus profondes de l'âme humaine.
Ce répertoire, que les artistes ont spécialement choisi d'interpréter à Formentor, a donné au concert une chaleur qui, selon les mots de Villanueva, « a créé un lien très spécial entre le public, la musique et la nature ». Un lien inspirant et important à niveau personnel pour les deux artistes, qui ont été ravis de participer à la VI édition de Formentor Sunset Classics : « prendre part à ce projet suppose un niveau d'excellence en termes de qualité des artistes avec lesquels nous avons la chance de partager l'affiche et ce cadre qui fait rêver. Pouvoir faire de la musique au bord de la mer dans un environnement aussi inspirant est extraordinaire », a déclaré la joueuse de viole quelques minutes avant de monter sur scène.
Le plus jeune chef d'orchestre à diriger le concert du Nouvel An avec l'Orchestre philharmonique de Vienne a eu le privilège de clôturer, pour la première fois hors de Majorque, le Festival Formentor Sunset Classics. À cette occasion, c'est le Théâtre Royal de Madrid qui a accueilli Gustavo Dudamel. « Je suis ravi de diriger dans un théâtre comme celui-ci, un théâtre classique, qui recèle des mystères acoustiques que les espaces modernes n'ont malheureusement pas », a expliqué le Vénézuélien lors de la conférence de presse qui a eu lieu avant le concert et au cours de laquelle il a partagé son enthousiasme pour débuter au Théâtre Royal.
Si c'était sa première fois sur cette scène, ce n'était pas la première fois qu'il dirigeait l'Orchestre philharmonique de Vienne. Bien que très jeune, ce chef d'orchestre a déjà une longue carrière qui lui a permis à plusieurs reprises de diriger cet orchestre légendaire. C'est pourquoi ce concert a eu ce caractère enrichissant qui associe un jeune chef d'orchestre plein de naturel et de talent, champion de la modernité de la musique classique à un orchestre historique, reconnu comme l'un des meilleurs au monde, qui vient célébrer son bicentenaire et capable d'intimider n'importe qui avec ses impressionnantes explosions sonores.
C'est précisément ce qu'ensemble, ils ont démontré dès le début du concert, avec la noirceur viennoise introvertie de l'Adagio de la Symphonie inachevée nº 10 de Mahler pour continuer, après l'interruption, avec la vitaliste et expansive Symphonie Fantastique de Berlioz. Un voyage sensoriel unique entre différents rivages qui a été brillamment dirigé par le maître d'orchestre Dudamel.
La Valse du Divertimento de Bernstein et la polka Winterlust de Josef Strauss ont clôturé un concert unique où le chef d'orchestre s'est même permis de plaisanter avec les spectateurs lors des premières notes du Divertimento, fidèle à ce tempérament proche et extraverti qui caractérise le Vénézuélien.
Un spectacle qui a uni un véritable « génie musical » selon le magazine National Geographic à l'un des meilleurs orchestres du monde dans un environnement nouveau mais aussi extraordinaire que l'original. Quel bouquet final !
La soprano russe a conquis la scène du Formentor Sunset Classics au bord d'une Méditerranée hypnotique, interprétant de véritables merveilles du répertoire lyrique.
Dans cette dernière ligne droite de l'un des plus prestigieux et des plus beaux festivals de musique classique, Peretyatko-Mariotti a baissé le rideau sur une nuit d'une énorme qualité musicale où les coloratures de sa voix puissante ont côtoyé les harmonies de Mozart, Offenbach et Donizzetti.
Avant de monter sur la scène donnant sur la mer, l'artiste a déclaré : « Je me sens vraiment privilégiée de participer au festival car c'est un cadre magnifique avec une histoire incroyable. Prendre part au Formentor Sunset Classics me comble de joie et je pense que le public le ressent ». Quelques minutes plus tard, son étonnante gamme vocale a résonné lors de l'une des soirées les plus excitantes de ce festival emblématique.
Des registres aigus aux fioritures impossibles, en passant par des tournures harmonieuses qui tenaient le public en haleine, Olga Peretyatko-Mariotti a interprété des morceaux comme O mio babbino caro, de Puccini, et le célèbre Ave Maria, de Caccini. Ces airs ont démontré pourquoi cette artiste est considérée comme l'une des meilleures sopranos du siècle.
Dans l'environnement vibrant et typiquement méditerranéen d'une des plages les mieux préservées de Majorque, le Formentor Sunset Classics réunit de grandes figures et des artistes émergents de grande projection internationale dans les jardins du Formentor, a Royal Hideaway Hotel. Un véritable cadeau pour les sens, qui ne sont pas seulement submergés par des performances lyriques sans précédent, mais qui se délectent également de la vue sur la mer turquoise et du coucher de soleil sur la Sierra de la Tramuntana.
Marta Moll (piano) et Damian Martínez (violoncelle), deux des instrumentistes les plus prometteurs de leur génération, ont présenté un programme basé sur de véritables classiques de la littérature pour violoncelle, une proposition qui, selon Damian, « traverse tout l'imaginaire musical de la musique populaire espagnole » et qui était composé de morceaux tels que la sonate « Arpeggione » (de F. Schubert) et l'« Adagio und allegro » (de R. Schumann), ainsi que des œuvres de deux grands compositeurs espagnols : Gaspar Cassadó et Ernesto Halffter. La soirée s'est clôturée par un final énergique et festif, le Grand Tango de l'Argentin Astor Piazzolla.
Dans les moments qui ont précédé le concert, la pianiste, ravie de monter sur la scène face à la mer qui a accueilli concerts et récitals des plus grands génies de la musique classique, a déclaré « faire partie du festival Formentor Sunset Classics est un privilège, non seulement parce que c'est l'occasion de partager l'affiche avec de grands artistes, mais aussi en raison de l'histoire qui entoure l'hôtel et qui depuis toujours est lié à la création artistique ». De son côté, Damian a souligné le cadre naturel qui entoure le concert, « faire de la musique dans un environnement comme celui-ci est vraiment très spécial. La mer Méditerranée et cette belle végétation en font un lieu unique. Enfin, il y a le silence qui permet de réellement écouter la nature et d'être loin de l’effervescence habituelle auquel nous sommes habitués ».
La scène Formentor Sunset Classics, au bord de la Méditerranée, a une nouvelle fois levé le rideau en accueillant sa V Édition. Pour l'occasion, deux des noms les plus importants de la scène classique ont eu l'honneur d'inaugurer une saison pleine de magie : le ténor Roberto Alagna et la soprano acclamée Aleksandra Kurzak. Les deux ont fusionné avec la brise marine dans des airs et des duos d'opéra chargés de lyrisme et d'énergie dans l'hôtel le plus emblématique de Majorque : Formentor, a Royal Hideaway Hotel.
À votre arrivée à l’hôtel, pendant la rencontre avec moyens qui precedió au concert, du ténor confesaba : « pour proximité, agir en le pourrez admirer un paysage exceptionnel de Formentor, entouré par la mer et soleil, est en quelque sorte bruit au paradis. » Pour sa part, la soprano Aleksandra Kurzak añadía « Formentor Sunset Classics, est un festival magnifique sur une scène incroyable, , c’est la raison pour laquelle nous sommes réellement heureuxd’avoir l’opportunité d’inaugurer cette édition ».
Le public sélectionné a vécu la transformation des personnages, qui ont mué leurs rôles d'air en air, de duo en duo, dans des performances presque lyriques. Un voyage à travers des styles et des histoires différents et célèbres de la musique lyrique, et même à travers des chansons hispaniques populaires. Une performance unique au cours de laquelle l'environnement naturel a mis les chanteurs à l'épreuve, faisant du vent méditerranéen un élément dramatique de la scénographie, et conférant aux voix et aux personnages une beauté et une force d'interprétation titanesques. Aleksandra Kurzak semblait voler avec sa voix puissante à travers les voiles de sa robe, tandis que Roberto, grâce à son expérience, prenait de grands risques musicaux, faisant preuve de maîtrise.
Deux stars unies par l'harmonie du chant qui ont fait revivre, une année de plus, la magie de Formentor Sunset Classics lors d'un concert majestueux qui inaugure une édition mémorable.
La soprano la plus charismatique de sa génération et référence internationale en chant lyrique a été la vedette du dernier concert de la saison 2016. La veille, lors d'une rencontre exclusive avec les médias, la chanteuse avait affirmé : « Nous, artistes, devons écouter notre voix, ce que notre voix aime. Et ma voix aime Puccini. C'est un compositeur avec qui ma voix se sent à l'aise et qui la fait grandir généreusement et sans la forcer. »
Le concert émouvant, en deux parties, a débuté par une spectaculaire Ainhoa Arteta dans le rôle de Carmen, de Georges Bizet. Son expressivité véhémente a donné de la puissance à son chant, qui a plongé dans les sentiments les plus déchirants du programme, voyageant de Bizet à Puccini, en passant par Mascagni. « Sola, perduta, abbandonata » était le final dramatique de 45 minutes d'intensité et d'opéra dans le décor naturel de Formentor, pour lequel l'artiste n'avait que des mots enthousiastes : « Je préconise fortement de faire des concerts dans des environnements naturels comme celui-ci. Cet endroit est merveilleux et ce festival est tout simplement exquis. »
La deuxième partie, qui a commencé par un hommage à Enrique Granados à l'occasion du 100e anniversaire de sa mort, s'est concentrée sur la Zarzuela, et a offert des cadeaux magiques au public comme Out of Africa, de John Barry. Une Ainhoa Arteta dévouée et théâtrale a attiré les sourires des spectateurs émus, à qui elle a transmis tout son amour pour la musique de la manière la plus pure.
Le moment clou, pour un public debout, a été les deux rappels avec O Mio Babbino Caro et La Misión. Bravo.
Hilary Hahn, qualifiée par les professionnels de Classic FM comme l'une des meilleures violonistes de tous les temps, a ravi le public de Formentor Sunset Classics lors de son unique concert en Espagne le 1er septembre.
Le même jour l'artiste, lauréat de trois Grammy Awards, expliquait en conférence de presse : « Je joue d'un violon créé par Jean Baptiste Vuillaume depuis l'âge de 13 ans. Le violon a grandi avec moi, c'est l'instrument que j'ai joué sur tous mes disques. Je me sens très proche de lui. » Lors de cette même présentation aux médias, Hahn, qui a enregistré 15 albums, a ajouté : « Je pense que cela va être une expérience magique pour les spectateurs parce que cette scène est le théâtre d'un concert au milieu de la nature. C'est un honneur pour moi d'être ici, c'est un endroit magnifique ».
Arturo Reverter, critique musical pour La Razón y Scherzo a écrit « Dès le premier morceau, le son de l'instrument nous a captivé, à la fois doux et expressif, sur des notes gracieuses ». Et c'est ce qui a été le cas ! Le public a été enthousiasmé par l'artiste et le groupe symphonique de premier plan, l'Orchestre philharmonique tchèque dirigé par Jirí Belohlávek, qui l'a rejoint sur la Suite pour orchestre à cordes de Leos Janacek, le Concerto n° 5 de Mozart et la Suite tchèque en Ré Majeur, Op. 39 de Dvorak.
Le concert, où les rappels n'ont pas manqué, s'est terminé par un Giga de Bach et une Pizzicato Polka de Strauss, jouée par l'orchestre seul. Un final triomphal pour une expérience prodigieuse qui pouvait également être suivie en direct sur les réseaux sociaux de l'hôtel. Une nouvelle façon de partager avec tous les adeptes du Festival et de l'Artiste un fragment du concert qui a eu lieu lors du coucher de soleil le plus spectaculaire qu'on puisse imaginer, Formentor.
Quatuor Quiroga à l'affiche du deuxième concert du Festival Formentor Sunset Classics 2016. Ses membres, Helena Poggio (violoncelle), Josep Puchades (viole), Cibrán Sierra (violon) et Aitor Hevia (violon) ont interprété à merveille le quatuor à cordes Op.20 nº 4 de Haydn et le quatuor à cordes Op. 51 nº 1 de Brahms.
Ils ont eux-mêmes expliqué le choix du programme : « Nous considérons Haydn comme le père du quatuor. Il a écrit beaucoup de quatuors tout au long de sa vie et a mis en scène des univers musicaux vraiment amusants, pleins d'humour, d'esprit et d'audace, qui étaient à l'époque quelque chose de nouveau ».
Concernant le deuxième nom, Helena a déclaré : « Brahms a écrit trois quatrains, trois merveilles. Au Formentor Sunset Classics, nous avons interprété le premier des trois, harmoniquement sophistiqué et à la perfection formelle et structurelle irrésistible. C’est une musique éternelle, merveilleuse… universelle ».
Dans des déclarations faites avant le concert, le Quatuor a également tenu à souligner que « c'est la meilleure scène où nous ayons jamais joué, un cadre idyllique dans lequel le temps semble s'arrêter. L'union d'un espace naturel aussi spectaculaire avec une programmation musicale d'une telle qualité en fait un événement incomparable ». Leur participation à cette édition, comme celle du jeune pianiste Juan Pérez Floristán le 16 juillet, a été possible grâce à l'accord de collaboration entre la Fondation Albéniz et le Barceló Hotel Group en faveur de jeunes talents.
A la fin du concert, nous avons pu assister à un rappel ancré dans l'idée du lien entre musique traditionnelle et musique plus élaborée. Une performance surprenante et arrangée pour cordes par eux-mêmes et inspirée du travail qu'ils font pour leur prochain album, dont la sortie est prévue au printemps 2017.
Le jeune génie du piano Juan Pérez Floristán, lauréat du Premier Prix et de la Médaille d'Or du Prix du Public au XVIII Concours International de Piano de Santander « Paloma O'Shea » (2015), a inauguré le samedi 16 juillet la IV édition du festival de musique classique Formentor Sunset Classics, en proposant un récital de piano qui a passionné les spectateurs.
Pérez Floristán, heureux et ravi de monter sur la scène de Formentor, qui a déjà accueilli des concerts et des récitals des plus grands génies de la musique classique, comme celui du pianiste chinois Lang Lang, a déclaré : « Dans un environnement naturel comme celui de Barceló Formentor, jouer en extérieur et face à la mer est une expérience unique. Mon nom s'ajoute à une affiche qui comporte déjà des noms comme Hilary Hahn, Ainhoa Arteta et le Quatuor Quiroga. Le résultat est une explosion de talent, un coup de pouce pour tout artiste. Que demander de plus ? ».
La musique coule dans ses veines. C'est sa mère, María Floristán, qui a été son mentor pendant plus de dix ans. Son père, le chef d'orchestre Juan Luis Pérez, a également apporté un peu de sa splendeur au jeune homme, qui est monté sur la scène majorquine pour éblouir le public lors du premier concert de la saison, auquel il a participé grâce à l'accord de collaboration entre Albéniz Fondation et Barceló Hotel Group en faveur de jeunes talents.
Avant son récital, les spectateurs ont pu profiter d'une Master Class donnée par le directeur artistique du Festival, Felipe Aguirre, sur le programme et qui a préparé le public à apprécier avec plus d'intensité les œuvres interprétées par les artistes.
« Beethoven me pousse à découvrir des choses. C'est une figure révolutionnaire, si grande et avant-gardiste qu'on trouve dans ses créations des choses qui continuent de nous surprendre. » À propos de la Sonate de Liszt, qui a ému le public, le jeune homme a avoué qu'« il s'agit d'une odyssée, 30 minutes suivies d'un feu d'artifice, une expérience vitale. On en sort épuisé, vidé mais ressourcé. »
Grande nouveauté de l'année, le festival a acquis une dimension en ligne, à travers son site Internet www.formentorsunsetclassics.com et ses profils sur les Réseaux Sociaux, Facebook et Instagram. Les fans de l'hôtel peuvent à présent profiter des dernières actualités du festival et des contenus exclusifs et inédits, dont des extraits de concerts en streaming. C'est une occasion unique pour ceux qui veulent profiter des moments les plus magiques de la Méditerranée.
Dans les moments qui ont précédé le concert, la pianiste, ravie de monter sur la scène face à la mer qui a accueilli concerts et récitals des plus grands génies de la musique classique, a déclaré « faire partie du festival Formentor Sunset Classics est un privilège, non seulement parce que c'est l'occasion de partager l'affiche avec de grands artistes, mais aussi en raison de l'histoire qui entoure l'hôtel et qui depuis toujours est lié à la création artistique ». De son côté, Damian a souligné le cadre naturel qui entoure le concert, « faire de la musique dans un environnement comme celui-ci est vraiment très spécial. La mer Méditerranée et cette belle végétation en font un lieu unique. Enfin, il y a le silence qui permet de réellement écouter la nature et d'être loin de l’effervescence habituelle auquel nous sommes habitués ».
Considéré comme l'un des barytons contemporains les plus reconnus du moment pour son charisme scénique, sa qualité vocale et artistique, Thomas Hampson a clôturé l'édition 2015 le 8 octobre avec une performance brillante qui a su captiver le public du début à la fin.
Hampson, d'origine américaine, se produit régulièrement dans de grands opéras aux États-Unis et en Europe où il poursuit une grande carrière internationale en tant que chanteur d'opéra et artiste d'enregistrement. Em plus, il entretient un intérêt actif pour la recherche, l'éducation et la diffusion musicale. Sa vaste discographie comprend plusieurs distinctions et récompenses internationales prestigieuses : un Grammy Award, cinq Edison Awards et le Grand Prix du Disque.
Il n'était jamais venu à Majorque auparavant et il a affirmé lors de la conférence de presse, la veille de son concert, que Formentor est un endroit avec « une atmosphère magique et merveilleuse », et a plaisanté en soulignant que son plus grand défi serait d'être « concentré sur sa voix et non sur le paysage qui entoure ce cadre naturel ».
Pour sa performance, avec l'Orchestre Symphonique des Baléares dirigé par Felipe Aguirre, le baryton a voulu s'impliquer personnellement dans l'élaboration du programme et « raconter des histoires » avec des morceaux compréhensibles et amusants. Sa sélection comprenait des œuvres de Mozart, Verdi, Massenet, Lehár et Bernstein, ainsi que des extraits de comédies musicales de Cole Porte. Un programme complet qui a commencé par une introduction solennelle du génie de Salzbourg et qui a progressivement évolué vers l'histoire de la comédie musicale jusqu'à certains des répertoires standard de la musique populaire américaine du siècle dernier faisant vibrer le public.
À la fin de sa performance, il a remercié la chaleureuse ovation lors d'un délicieux rappel en interprétant la célèbre chanson « Night and Day » de Cole Porter. Un moment unique pour clore la IIIe édition d'un festival qui, année après année, accumule les succès et les expériences inoubliables.
Cette 3e édition restera dans les annales pour le récital passionnant de violon et de piano offert par deux figures de grande renommée à l'occasion du nouveau défi de Barceló Formentor qui souhaite unir la maturité et la jeunesse dans la musique classique. Ana María Valderrama, reconnue comme l'une des meilleures violonistes d'Espagne, avec le pianiste Luis del Valle ont interprété des œuvres de Schuman, Saint-Saëns, Sarasate, Dubois et Chopin.
Très reconnaissant d'avoir participé à cette initiative du Groupe Barceló, main dans la main avec la Fondation Albéniz et l'École de musique Reina Sofía (dont tous deux sont d'anciens élèves et où ils se sont rencontrés avant de se marier), Valderrama a commenté que c'était « un honneur de jouer dans des festivals avec des artistes de haut niveau, comme Daniel Barenboim et Kiri Te Kanawa », et que « … ce type d'initiative est fondamental, comme celles organisées dans cet hôtel pour nous et surtout dans la conjoncture sociale dans laquelle nous vivons ».
Concernant le récital, qui a eu lieu au coucher du soleil dans les jardins exclusifs de l'hôtel Barceló Formentor, les spectateurs ont pu apprécier la prestation de ce duo et leur relation émouvante entre les deux instruments, au point de se mêler et « d'atteindre l'essence et le cœur de la musique », comme l'a cité Luis del Valle, avant le concert, en décrivant ce qu'ils recherchent et ce qui les motive lorsqu'ils jouent ensemble.
La nouvelle scène spécialement conçue pour accueillir ces nouveaux rendez-vous avec de jeunes talents, avec une capacité moindre et un cadre plus intimiste, a réussi à connecter le public avec la musique et l'environnement paradisiaque de ce coin de Méditerranée dès les premières notes.
Une performance brillante qui a permis, pour la première fois à Formentor Sunset Classics, de conjuguer une programmation avec des musiciens confirmés et de belles promesses destinées à rejoindre les artistes renommés.
L'actuelle grande star du piano classique a inauguré cette 3e édition du festival en ravivant la magie de ce lieu. Les notes de sa musique se sont mêlées à la pinède située face à la mer de Formentor tandis que le public assistait au coucher du soleil.
410 privilégiés, nombre record de spectateurs à ce jour, ont pu profiter du seul récital que le pianiste a offert cette année en Espagne. Pendant deux heures, le grand emblème de la vigueur chinoise dans la musique classique, a montré sa maîtrise en interprétant un programme qui a commencé par « Les saisons » de Tchaïkovski (une par mois de l'année) de manière décontractée avec son balancement caractéristique des bras de haut en bas et avec la tête en arrière et son regard posé sur le paysage dans les passages les plus romantiques. Il a continué avec le « Concerto italien » de Bach, soulignant avec vigueur le jeu contrapuntique du morceau. Après l'entracte et à la tombée de la nuit, Lang a culminé dans un état d'introspection et de sensibilité avec des morceaux extraordinaires tels que les « Quatre scherzos » de Chopin, l'un de ses compositeurs préférés.
Complètement imprégné de musique comme il l'a annoncé lors de la conférence de presse précédant le concert : « Je suis convaincu qu'au Formentor Sunset Classics je jouerai différemment grâce à l'inspiration de ce lieu... c'est encore plus spectaculaire que ce à quoi je m'attendais », a-t-il livré sur son interprétation et a présenté un autre des principes qu'il a exposés lors de sa présentation : « Un bon pianiste est un bon communicateur. »
Pour terminer et avant un bref rappel, Lang Lang a remercié le public pour les applaudissements et pour l'opportunité de se produire dans les jardins de l'hôtel Barceló Formentor, dans un cadre idyllique et une météo qui, selon ses mots, « est comme le paradis ».
La deuxième édition du Formentor Sunset Classics 2014 commence par une expérience difficilement reproductible : dans ce qui fut son unique récital de piano en Espagne cette année, Daniel Barenboim, après les trois sonates du programme exclusif de Schubert (n° 4 en La mineur, D537 ; n° 13 en La majeur, D 664 et n° 17 en Ré majeur, « Gasteiner » D 850), a qualifié lui-même ces morceaux de « véritables trésors ». Le maestro a répondu à la chaleur et à l'enthousiasme du public, en offrant une interprétation de Chopin rendant hommage à Majorque et au lien avec l'île.
Les deux morceaux étaient Nocturno, et, après les derniers applaudissements, il a fait une interprétation magistrale de la Ballade nº1, un morceau très inhabituel pour un rappel étant donné sa complexité technique. Cela montrait l'implication de Daniel Barenboim dans le récital. Il avait anticipé son enthousiasme lors de la conférence de presse précédant le concert en rappelant les affirmations de celui qui l'avait précédé lors de la première édition du Formentor Sunset Classics : « Mon ami Zubin Mehta m'a dit que c'est un endroit magnifique ».
De plus, grâce à l'arrière-scène transparente située dans les jardins du Barceló Formentor, face à la mer, le coucher de soleil est devenu une toile de fond spectaculaire dans l'un des endroits naturels les plus privilégiés de Majorque.
Fort d'un nouveau succès, dirigé par le Maestro Daniel Barenboim, Formentor Sunset Classics redevient l'épicentre de la musique de grandes figures internationales et poursuit cet événement musical sous forme de rencontres exclusives qui garantissent le caractère particulier et de très haut niveau dans la Méditerranée.
Touchante, majestueuse, irremplaçable. C'est ainsi que l'on pourrait décrire la performance de Kiri Te Kanawa, la plus grande représentante du glamour dans une chanteuse d'opéra, qui a conquis le Barceló Formentor de sa voix suprême et de son imposante présence.
Un rendez-vous exclusif, puisque depuis sa retraite de l'opéra en 2004, Te Kanawa se produit à peine dans une dizaine de concerts par an. Un fait qui, avec la scène et son environnement naturel face à la mer, a été l'une des principales motivations pour les 350 participants qui ont eu le privilège d'écouter sa voix magique.
La soprano néo-zélandaise avec l'Orchestre Symphonique des Îles Baléares,
dirigée par Robin Stapleton, séduit ses assistants en interprétant l'un de ses compositeurs préférés : Mozart. Elle transforme les œuvres de Joseph Canteloube et Giacomo Puccini, entre autres, en un baume pour les sens.
Un concert très exclusif où l'une des grandes voix a pu être appréciée d'une manière très différente et sans doute beaucoup plus intime et spéciale : en plein air face à la mer, dans les jardins de l'hôtel et au coucher du soleil.
Pour l'édition 2015, Formentor Sunset Classics s'associe à la prestigieuse Fondation Albéniz pour rehausser le niveau d'une initiative pour laquelle il est difficile de trouver un précédent similaire.
300 chanceux ont participé à un rendez-vous unique : le concert dirigé par l'une des plus importantes baguettes du monde, dans la baie de Formentor bercée par la musique de Beethoven.
Spectaculaire, unique, du jamais vu, passionnant. Voici les adjectifs pour décrire cet événement qui a eu lieu au Barceló Formentor : le chef d'orchestre Zubin Mehta a dirigé l'Orchestre Maggio Musicale Fiorentino (Florence) à l'occasion d'un concert sensationnel donné face à la mer et qui fait partie du projet culturel Formentor Sunset Classics.
Le chef d'orchestre Indien (Bombay, 1936) a ravi les 300 spectateurs présents lors d'un concert mettant à l'honneur le nom de l'initiative et qui a commencé au coucher du soleil. Ce concert a été composé de deux morceaux essentiels de l'œuvre de Ludwig van Beethoven : Symphonie n° 6 en fa majeur, op. 68 « Pastoral » et Symphonie n° 3 en mi bémol majeur, op. 55 « Eroica ».
L'hôtel le plus étroitement lié aux arts est ainsi devenu le haut-parleur de la musique, inondant cette enclave privilégiée située au nord de Majorque.
Fils de Mehli Mehta (fondateur de l'Orchestre Symphonique de Bombay), l'ascension de sa carrière de chef d'orchestre fut fulgurante, succédant aux titularisations des orchestres les plus prestigieux. Sa grande polyvalence avec laquelle il insuffle vie à tous les répertoires, du classicisme aux partitions contemporaines les plus complexes, et sa manière spectaculaire et très personnelle de diriger, en font l'un des chefs d'orchestre préférés des mélomanes.
C'est ainsi que le succès du rendez-vous de Zubin Mehta à Majorque signifie la consolidation de l'initiative culturelle du Formentor Sunset Classics, dont le programme a débuté le 22 juin avec « L'épopée russe », un hommage à la Russie classique par Mihkail Tatarnikov, l'un des chefs d'orchestre russes les plus acclamés et directeur musical du Théâtre Mikhailovsky à Saint-Pétersbourg.
Le chef d'orchestre Mikhail Tatarnikov, chef principal et directeur musical du prestigieux Théâtre Mikhailovsky de Saint-Pétersbourg, considéré comme l'une des premières figures de la musique classique en Russie, a inauguré le 22 juin 2013 dans les jardins de l'hôtel face à la mer, le projet culturel Formentor Sunset Classics à l'occasion du concert L'épopée russe.
Lors de sa conférence de presse, Tatarnikov a avoué que l'interprétation d'Alexandre Nevsky avait « une signification très importante pour moi », pour tout ce que la projection de ce film signifiait pendant son enfance dans l'ex-Union soviétique. « Avant de commencer à étudier la musique, je connaissais déjà très bien le film et la musique de Prokofiev », a-t-il ajouté.
Le spectacle a réuni sur scène un total de 80 musiciens, la mezzo-soprano Irina Shishkova, les musiciens de L'Orchestre Symphonique des Îles Baléares « Ciutat de Palma », le Cor de la Generalitat Valenciana, dirigé par Larisa Gergieva et la projection du film « Alexander Nevsky » de Pier Alli, accompagné de la bande originale composée par Sergei Prokofiev réalisée et interprétée par le chef d'orchestre Mikhail Tatarnikov.
Divisé en deux parties, le concert a duré une heure. La première partie était Roméo et Juliette de Prokofiev. Après une brève entracte, il y a eu le clou de la soirée : la bande originale que Prokofiev a composée pour le film Alexandre Nevski.
Preuve du succès de cette première édition, les nombreuses mentions dans les médias les jours suivants : « Rendez-vous mémorable dans les jardins de Barceló Formentor » Fuera de Serie ; « Grand hommage à la Russie classique » Expansión ; « Fantastique, presque idyllique » RNE ; « Un cadre unique » COPE ; « Un concert unique » Diario de Mallorca et « Ranimer le rêve culturel » El Mundo.
Jesteśmy w trakcie tłumaczenia strony, zostanie ono ukończone za kilka chwil.
Bieżąca strona jest w języku [currentlanguage], czy przetłumaczysz ją na język [targetlanguage]?
Trenutno poteka prevajanje spletne strani, ki bo končano v nekaj trenutkih.
Trenutna stran je v [currentlanguage], ali jo želite prevesti v [targetlanguage]?